FRANKENSTEIN MEETS THE SPACE MONSTER [1965]

Frankenstein meets the Space Monster




Réalisateur : Robert Gaffney
Année: 1965
Pays: USA
Genre: Invasion de chauves
Durée : 76 min
Avec : Marilyn Hanold, James Karen, Lou Cutell, Nancy Marshall, Robert Reilly,…








Histoire

Un vaisseau de la Nasa en route pour Mars est descendu par une reine maléfique et ses sbires. Le vaisseau se crash à Porto Rico et son pilote répondant au nom de Frank, s'enfuit. Les créateurs de Frank se mettent à sa recherche pendant que ce dernier terrorise les habitants de la région. De leur côté, les aliens se mettent en quête de ce dont ils ont besoin désespérément : des filles en bikini pour repeupler leur planète !







Mon Avis

Voici une belle perle du cinéma SF des années 60, Frankenstein meets the space monster est un pur nanar dans la belle tradition de ces années passées. Les américains envois des fusées pour un voyage sur Mars mais celles-ci se font à chaque fois descendre par on ne sait quel mystère (enfin si nous on sait mais j’y reviendrais) et décident d’envoyer une ultime fusée avec à son bord un androïde plutôt qu’un humain par peur de perdre encore un équipage. Mais elle se fait à nouveau descendre et Frank, l’androïde, s’en sort indemne et atterri à Porto Rico. Nous découvrons que se sont des envahisseurs qui ont fuit leur planète à cause d’une guerre atomique et qui conte repeupler leur race en s’accouplant avec des femmes terrienne. Voici en gros le scénario de départ, classique dans l’ensemble mais ce n’ai rien comparé à ce que va découvrir le spectateur. Dès le début on nous montre les fameux envahisseurs qui ont des gueules de Spock de troisième zone avec le maquillage qui dégouline de partout et une princesse dont le charisme atteint le zéro absolu. Frank, le futur « Frankentein » est une vraie tête à claque et quand celui-ci se fait touché par le sèche-cheveux laser des envahisseurs, la moitié de son visage ressemble à de la bouillie que même ma grand-mère n’oserait pas me donner, allez hop un peu de pâte-à-modeler et 2/3 boutons de manchette et on obtient un joyeux petit look pour notre apprenti Frankenstein. La créature des envahisseurs n’est pas en reste avec un costume de singe piqué dans un foire-fouille du coin et un masque d’extraterrestre avec 3 antennes sur la tronche, c’est moche mais ça fait rire. Entre les costumes et les décors abracadabrants comme le vaisseau spatial qui paraît plus grand à l’intérieur qu’à l’extérieur (n’est pas le Tardis qui veut) ou encore les différents stock-shots de la NASA où autre documentaires qui illustrent la guerre qui risque d’éclater, Frankenstein meets… est un sacré bordel foutraque et ce n’est pas la musique rock n’roll abrutissant le tout qui va arranger les choses. C’est mal joué, filmé comme les pieds et les faux-raccords pullulent mais on rigole de bon cœur.





















Trailer




INTERPRETATION


HISTOIRE


VIOLENCE


SFX


DIVERTISSANT


EROTISME


GORE


ACTION


HUMOUR
(involontaire évidemment ^^)

AVIS PERSONNEL