Acteurs : Anna Paquin, Stephen Moyer, Sam Trammell, Ryan Kwanten, Rutina Wesley
Réalisateurs : Stephen Moyer, Howard Deutch, Lee Rose, Gregg Fienberg, Angela Robinson
Format : Couleur, Cinémascope
Audio : Anglais (DTS 5.1), Français (DTS 5.1), Espagnol
Sous-titres : Espagnol, Français, Danois, Finnois, Néerlandais, Norvégien, Suédois, Portugais
Sous-titres pour sourds et malentendants : Anglais
Région : Toutes les régions
Rapport de forme : 1.78:1
Nombre de disques : 5
Studio : HBO
Date de sortie du coffret : 8 décembre 2014
Durée : 560 minutes
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5 commentaires audio par les acteurs et l'équipe de tournage dont Brian Buckner, Anna Pacquin, Stephen Moyer, Chris Bauer, Carrie Preston et bien d'autres
Saison :
Mine de rien,
True Blood a tranquillement imposé son ambiance gore, décomplexée et sexy dans le paysage des séries Américaines. Ce fut un beau parcours pour cette série novatrice, avec des hauts (Saisons 1, 2) et des bas (Saison 4). Après avoir subtilement fait passer un beau message de tolérance au détour de répliques et de scènes ci et là à chaque saison, il est temps pour le show d'Alan Ball de se retirer. Quid de cette ultime saison ? Elle reprend là où la précédente s'était arrêtée (les vampires infectés par l'hépatite V se regroupent pour attaquer Bon-Temps) mais cette intrigue est rapidement expédié en 4 ou 5 épisodes, pour laisser place à de nombreuses histoires plus intimistes, et une nouvelle intrigue concernant des Yakuzas (!) manquant cruellement de saveur. Toutefois, les saisons précédentes étaient tellement précipitées que ce rythme plus posé et ce développement des états d'âme de nos héros sont salutaires pour terminer la série avec un attachement accru pour ces derniers. Il est donc l'heure de dire au revoir à ces personnages que l'on suit avec plus ou moins d'intérêt depuis 6 ans. Certains ont malheureusement un traitement (tout à fait objectivement) décevant, notamment deux personnages principaux présents depuis le début qui voient leurs apparitions réduites au compte-gouttes. La conclusion de la série, bien que satisfaisante et tout à fait dans l'optique de ce qui avait été débuté dès le pilote en 2008, laisse un léger goût d'inachevé et d'expédition.
Comme beaucoup de séries actuelles, au final. Ou serait-ce simplement trop dur de quitter des amis de longue date ?
Image :
La série ne change pas son excellent aspect technique. Piqué, couleurs, contrastes... Tout est excellent.
Son :
Comme toujours, les dialogues sont privilégiées mais l'ensemble de la piste sonore est des plus immersifs.
Lun 13 Avr - 21:24
