DES VIERGES POUR LE BOURREAU [1965]

L'éditeur Daniel Parks a choisi un château, en apparence abandonné, pour réaliser des photos qui orneront les couvertures des romans d'épouvante écrits par son ami Nick. Il ignore que les lieux furent jadis le théâtre de meurtres horribles perpétrés par un assassin sadique surnommé «le bourreau sanguinaire», et dont la dépouille repose toujours dans les souterrains.

Kitch, théâtral, ancêtre du torture-porn sans verser dans l'excès, Des vierges pour le bourreau se laisse gentiment voir de par l'interprétation douteuse du bourreau et de ces femmes gentiment idiotes, c'est rigolo, mal vieillit (voir les différents combats à mains nues on dirait du catch !!) mais complètement dispensable sauf si vous n'êtes pas allergiques à ce genre de production transalpine.